Strié par les sillages entrecroisés des propulsion ioniques, l'espace où je me trouve à présent est parcourue d’explosions stellaire. De loin, l'espace est devenu une résille inextricable de traînées étincelantes, fines comme des cheveux, qui décrivent autour des planétoïdes des spirales erratiques, tel un essaim de moustiques luminescents. De loin, le spectacle peut paraître fabuleux.
De l'intérieur, il en est tout autrement.
De l'intérieur, les moustiques sont des chasseurs s'entretuant à une vitesse impossible, les fines lignes brillante sont des tirs de turbolazers assez puissant pour détruire une petite ville. Et les planétoïdes ne sont que des destroyers ou des croiseurs impériaux et rebelles.
De l'intérieur, la bataille est une tempête de confusion et de panique, de rayon de particules ionisées filant le long de votre vaisseau, si près que votre cockpit rugit comme une sirène éraillée. C'est le tumulte des vibrations remontant à travers les semelles de vos bottes tandis que votre croiseur est touché par les missiles. C'est la mort, à chaque seconde, des explosions titanesque où disparaissent des vaisseaux dans une gerbe de feu. Vus de l'intérieur, le combat est un mélange de terreur, de désespoir et de la certitude écœurante que vous saviez qu'il ne fallait pas vous levez de votre couchette aujourd'hui...
Des canons antichasseurs jetaient des éclairs de toute part dans l'espace autour de mon croiseur. Au rugissement des propulseur luminique s'ajoutait le grondement et les vibrations des décharges de turbolazers qu'émettaient les vaisseaux allié ou ennmis.
_Toutes les batteries sur le destroyer ennemis le plus proche, et tir de barage au point 4.0.Une secousse m'anonça que le vaisseau avait largué des torpilles.
Un esquadron de bombardiers ennemis tira une salve de bombes, endommagant le bouclier tribord. Il revenaient par le flanc pour attaquer.
_Désactiver le bouclier babord et faite une rotation de 40°, présenter le flanc droit avec les bouclier au maximum et ordonné à tous les turbolazers de faire feu.Le vaisseau de commandemant ennemis me fit parvenir un message : Il mon demandés de m'éloigner, mais j'ai préférer tirer sur un destroyer ennemis sans bouclier avec mes torpilles, ce qui eu pour effet de scinder le vaisseau en deux.
Je me dirigeaient maintenant vers le superdestroyer impérial d'où tout les ordres impériaux venaient.
_Leader alpha, viser les générateur d'énergie ennemis, il n'auront plus de quoi alimenter leur bouclier et leurs tourelles principales, ce sera un jeu d'enfant de dégomer la passerelle.
_Bien reçu. Aller les gars, ont se fait un superdestroyer aujourd'hui ! Les missiles des chasseurs partirent dans un ordres parfait se scindant en plusieurs groupes pour atteindre les trois cibles : les générateurs d’énergies.
La premières vague de missiles s’écrasèrent contre les boucliers qui résistèrent à l’impact, mais lors de la deuxième vague, il s’éffondrèrent sur eux même et laissairent les drenères torpilles détruire les générateurs.
Les tourelles ioniques du superdestroyer cessèrent de tirer, les bouclier disparurent des écrans de contrôles et les moteurs principaux s’éteignirent. Le croiseur dérivait mais il alluma ses moteur auxiliaires de secours et commença à désengager le combat.
_Leader Alpha, attention eux batteries quadrilazers, elles vous tirent des… ! Trop tard, son escadrons fut détruit de même que celui des B-ying.
Le module de commande du superdestroyer de trouvait juste sur notre flanc.
_Attention, on largue tous ce qu’on a sur la passerelle de commandement à la fin du compte à rebours…, les batteries ferons feu dès le début, elles ralentirons la remise en marche des boucliers._…5… Des chasseur ties se transformaire en nuage incandescent juste devant nous.
_…4… Une corvette céda sous le feu nourri du superdestroyer.
_…3… Les batteries ionique se remirent à tirer
_…2… Les boucliers ne tarderaient pas à réapparaîtes.
_…1… Un tir croisé atteignit nos batteris turbolazers qui furent en parties détruites...
_…FEU ! Les missiles partirent comme des étoiles filantes et explosèrent, faisant disparaître la passerelle et ses occupent dans une gerbe de feu et de métal…
Les derniers destroyers ennemis prenaient la fuite quelque minutes après que le superdestroyer explosait sous le feu de mon croiseur.
Ensore un jour banal de passé.